la grève générale convoquée par les deux principales centrales syndicales espagnoles. Il est reconduit à ce poste en décembre 1989.
Au cours du XXXVe congrès fédéral, il est élu au poste honorifique de président du PSOE sur proposition de José Luis Rodríguez Zapatero, successeur d'Almunia.
Il est rappelé au gouvernement espagnol en avril 2009 par Zapatero, qui le nomme troisième vice-président du gouvernement, un poste vacant depuis 31 ans, et ministre de la Politique territoriale. Ses compétences sont élargies à la fonction publique l'année suivante. Il cède en mars 2010 la direction andalouse du PSOE à son successeur à la Junte José Antonio Griñán, ce qui occasionne leur rupture amicale.
En avril 1990, il est désigné candidat socialiste aux élections régionales en Andalousie, fief socialiste depuis la fin du franquisme. Vainqueur du scrutin, il est investi président de la Junte et accomplit un mandat de 18 ans ident du gouvernement, un poste vacant depuis 31 ans, et ministre de la Politique territoriale. Ses compétences sont élargies à la fonction publique l'année suivante. Il cède en mars 2010 la direction andalouse du PSOE à son successeur à la Junte José Antonio Griñán, ce qui occasionne leur rupture amicale.