parti et du syndicat. En décembre 1988, il est contraint de retirer son projet de plan pour l'emploi des jeunes après la grève générale convoquée par les deux principales centrales syndicales espagnoles. Il est reconduit à ce poste en décembre 1989.
En avril 1990, il est désigné candidat socialiste aux élections régionales en Andalousie, fief socialiste depuis la fin du franquisme. Vainqueur du scrutin, il est investi président de la Junte et accomplit un mandat de 18 ans et huit mois. Avec José Bono et Juan Carlos Rodríguez Ibarra, il est présenté comme l'un des « barons » du socialisme espagnol. À partir de 1994, il cumule cette fonction avec celle de secrétaire général du PSOE andalou.
Il est choisi en mars 2000 pour prendre la présidence de la direction provisoire du parti, formée après la démission du secrétaire général Joaquín Almunia. Au cou
parti et du syndicat. En décembre 1988, il est contraint de retirer son projet de plan pour l'emploi des jeunes après la grève générale convoquée par les deux principales centrales syndicales espagnoles. Il est reconduit à ce poste en décembre 1989.
En avril 1990, il est désigné candidat socialiste aux élections régionales en Andalousie, fief socialiste depuis la fin du franquisme. Vainqueur du scrutin, il est investi président de la Junte et accomplit un mandat de 18 ans et huit mois. Avec José Bono et Juan Carlos Rodríguez Ibarra, il est présenté comme l'un des « barons » du socialisme espagnol. À partir de 1994, il cumule cette fonction avec celle de secrétaire général du PSOE andalou.
Il est choisi en mars 2000 pour prendre la présidence de la direction provisoire du parti, formée après la démission du secrétaire général Joaquín Almunia. Au cou